Me voici à la lettre C... (et oui, je ne les fait pas dans l'ordre !!!).
Aujourd'hui, nous voici à Quimper, au coeur de la magnifique Cathédrale St Corentin.
Aujourd'hui, nous voici à Quimper, au coeur de la magnifique Cathédrale St Corentin.
En août dernier, nous avons eu l'occasion de la visiter à l'occasion de nos vacances en Bretagne...
Alors, je posterai donc sur cet article mes photos souvenirs !
Historique:
C'est en 1239 que l'Evêque Raynaud décide
de construire la cathédrale actuelle en s'appuyant sur les fondations
d'une ancienne cathédrale romane. En 1410, les voûtes du choeur sont
achevées, tandis que sont posées les verrières dans les fenêtres hautes.
En 1424, l'Evêque Bertrand de Rosmadec entreprend la construction de la
nef et des deux tours de la façade.
A partir des années 1850, l'architecte quimpérois Joseph Bigot entreprend la restauration de l'édifice, principalement le décor des chapelles et la commande de nouveaux vitraux détruits lors de la Révolution Française. Sa réalisation la plus spectaculaire reste l'achèvement des deux tours avec la construction des flèches entre 1854 et 1856, financée par les quimpérois.
A partir des années 1850, l'architecte quimpérois Joseph Bigot entreprend la restauration de l'édifice, principalement le décor des chapelles et la commande de nouveaux vitraux détruits lors de la Révolution Française. Sa réalisation la plus spectaculaire reste l'achèvement des deux tours avec la construction des flèches entre 1854 et 1856, financée par les quimpérois.
La déviation de la nef :
Une des principales inconnues de la
construction de la cathédrale, concerne la différence d'orientation
entre le choeur et la nef. Plusieurs hypoyhèses ont été émises. la
première est d'ordre symbolique : le choeur suivrait l'inclinaison de la
tête du christ sur la croix, une autre y verrait des difficultés
rencontrées au cours des travaux à cause de la nature du sol et des
fondations de la cathédrale romane.
Les vitraux :
Les verrières furent mises en place de
1417 à 1419. Elles sont l'oeuvre de plusieurs ateliers, mais témoignent
d'un programme cohérent. Au nord sont représentés des donateurs
écclésiastiques, au sud des donateurs laïques.
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